MONJU Japon: une histoire sans fin, un risque majeur

Ils souhaitent également l’annulation ou la réduction des dépenses consacrées au projet de réacteur nucléaire à fusion Iter (réacteur thermonucléaire expérimental international), actuellement en construction en France à côté de Cadarache. Ce dernier vise à faire de la fusion thermonucléaire une source d’énergie illimitée en étant une alternative aux centrales nucléaires, qui fonctionnent avec la fission d’atomes lourds et créent des déchets. L’Unité de revitalisation du gouvernement a pour objectif d’étudier au cas par cas l’utilité des projets initiés par les gouvernements dans plus d’une dizaine de secteurs, dont les sciences, l’éducation et les télécommunications”.

 Ça bouge du coté du Japon, et  qu’en pense Hollande qui n’a renoncé ni à Astrid (réacteur 4 eme génération ex Superphenix ) , ni à ITER?


1 Commentaire

    • LERAY sur 23 mai 2012 à 10 h 11 min
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    Un milliard d’EUROS pour l’étude papier d’ASTRID (MONJU bis hors de controle actuellement) avec ses tonnes de sodium fondu, totalement non maitrisable en cas de fuite majeure, c’est une honte. 1 milliard pris sur le « grand emprunt », en plus !
    Et un danger bien plus énorme que FUKUSHIMA.
    Avis aux amateurs.

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