Le groupe d’experts de l’Autorité de sûreté nucléaire estime que l’électricien doit «réparer» huit grosses soudures défectueuses sur le réacteur de Flamanville. Les travaux pourraient durer jusqu’à 2022 au risque de ruiner la réputation de l’EPR qui accuse déjà des années de retard. Libération Par Jean-Christophe Féraud — 11 avril 2019 C’est un «running gag» …