La malédiction du pétrole, une fatalité bien connue des géopoliticiens et doctement ressassée : plus un pays est riche en gisements, moins il est démocratique. De fait, en 2011, pendant la vague de révoltes du « printemps arabe », cet axiome s’est vérifié : à l’exception de la Libye, tous les plus gros producteurs ont été épargnés. …