Déclaration mardi à Tokyo de GREGORY JACZKO qui était jusqu’en juillet 2012 président de la Commission de régulation nucléaire des USA : la crise en cours à la centrale de Fukushima n ° 1 est un signe que le monde doit repenser sérieusement la sûreté nucléaire et envisager de rompre sa dépendance vis à vis de l’énergie atomique. Par Kazuaki Nagata 24 09 2013
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« Quand vous regardez ce qui s’est passé autour de la zone de Fukushima Daiichi (n ° 1), c’est tout simplement inacceptable », alors que des dizaines de milliers de personnes ont pu retourner dans leurs foyers en raison de la contamination radioactive, a déclaré Gregory Jaczko, qui a servi de haut responsable américain de réglementation nucléaire depuis près de trois ans, jusqu’en Juillet 2012.
Étant donné que le Japon est extrêmement sujette aux tremblements de terre et le tsunami, entre autres catastrophes, en utilisant l’énergie nucléaire présente des risques graves, sauf une sorte de nouvelle technologie est créée afin d’éliminer complètement la possibilité d’accidents graves, Jaczko a déclaré aux journalistes au Club du Japon les correspondants étrangers.
Cependant, Jaczko a également déclaré que la création d’une telle technologie zéro-risque est à peu près impossible.
Au lieu de cela, Jaczko dit, il espère Japon déverse ses ressources et son énergie dans la recherche de moyens pour fonctionner sans l’énergie atomique.
« Je pense que les Japonais ont la capacité de le faire», at-il dit.
Alors que chien de garde nucléaire du Japon, l’Autorité de régulation nucléaire, est en train d’examiner des demandes de services pour redémarrer les réacteurs, Jaczko a souligné l’importance d’obtenir le public participe activement à ce processus.
« Il doit y avoir un débat public approfondi et un débat public pour s’assurer que ces décisions » ont reçu le plus de soutien du public que possible, a déclaré Jaczko, qui a dirigé le CNRC lorsque la crise de Fukushima a éclaté le 11 Mars 2011.
Quant à la question des eaux souterraines en cours contaminé qui coule dans l’océan à l’usine no 1, Jaczko exprimé befuddlement que le problème vient seulement sous le feu des projecteurs.
« Cela a été connu depuis le début qu’il y aurait potentiellement ces problèmes de contamination», at-il dit.