CÉCILE ASANUMA-BRICE 8 AVRIL 2019 Libération Dans la gare de Fukushima, on décompte les jours. Deux écrans noirs dans un cube blanc sur lesquels sont affichés les jours restants avant le commencement des jeux olympiques sont comme deux orbites béants d’un crâne vide. L’enthousiasme sportif laisse place à la colère ravivée des habitants à la …