Sans notre contribution, son projet de film ne peux se finir. « Or les TV (mise à part la RTBF en Belgique) arrêtent de subventionner des films sur le sujet, car, disent-elles, le sujet n’intéresse plus personne. Cela dit, pour avoir étudié tchenrobyl 25 ans après, je sais que Fukushima ne fait que commencer.
« Je me suis rendu à Minamisoma en Octobre. J’y ai rencontré et écouté les gens. J’y suis retourné en mars. J’ai pu entrer dans la zone et me rendre compte de la situation. Je me sens profondément connecté à mes nouveaux amis japonais et je m’inquiète du fait que la plupart des gens s’imaginent que le problème est réglé alors qu’il ne fait que commencer.Les médias considèrent que le sujet de Fukushima n’est plus d’actualité. Aussi, suis-je obligé de compter sur la conscience et l’investissement personnel des citoyens. »
« Minamisoma est à 20 KMS de la centrale de Fukushima. Depuis 1000 ans, la ville célèbre le festival samouraï du NOMAOI, rappelant ainsi son long passé. Mais la ville est contaminée. Les 4 réacteurs de la centrale menacent encore la ville. Les gens se demandent donc s’il faut rester ou partir. Le film suit 3 familles. L’une donne foi aux directives rassurantes du gouvernement. L’autre a décidé de déménager à Okaido. La troisième cherche à comprendre la situation ».
Voir le site de Alain de Halleux: