L’OMS (Organisation mondiale de la Santé), 50 ans de subordination à l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) |
La constitution de la World H SANTE Organisation (OMS) , énonce les principes suivants: «Le développement sain de l’enfant est d’une importance fondamentale …» «opinion publique éclairée et une coopération active de la part du public sont des une importance capitale dans l’amélioration de la santé de la population … »
Dans le chapitre 1, article 1 – Objectifs de l’OMS , il déclare: «L’objectif de l’Organisation mondiale de la santé doit être d’amener tous les peuples du plus haut niveau possible de santé ».
Mais le 28 mai 1959, l’OMS a signé accord WHA 12-40 avec la International Atomic Energy Agency (IAEA) qui empêche l’OMS de prendre toute initiative ou d’action pour atteindre ses objectifs de préservation et l’amélioration de la santé
Fukushima: UN ACCORD QUI POUSSE À LA CENSURE
L’article 1 alinéa 3 de l’accord signé le 28 mai 1959 entre les deux organismes stipule que « chaque fois que l’une des deux parties se propose d’entreprendre un programme ou une activité dans un domaine qui présente ou peut présenter un intérêt majeur pour l’autre partie, la première consulte la seconde en vue de régler la question d’un commun accord ».
L’accord qui lie l’OMS à l’AIEA est problématique, juge Claudio Knüsli, membre de l’Association des médecins pour une responsabilité sociale en matière de nucléaire (IPPNW).
« Scientifiquement, dans le domaine nucléaire, l’OMS est soumise à l’aval de l’agence internationale de l’énergie atomique. En plus, il lui manque des moyens et des spécialistes qualifiés dans ce domaine », indique ce médecin et connaisseur du dossier.
Depuis plus de 50 ans, les deux organismes doivent systématiquement se consulter dans le domaine du nucléaire. Et l’accord va même plus loin. Il stipule que « L’AIEA et l’OMS reconnaissent qu’elles peuvent être appelées à prendre certaines mesures restrictives pour sauvegarder le caractère confidentiel de renseignements qui leur auront été fournis » (article 3 alinéa 1).
Un article qui fait penser que l’OMS est censurée par l’AIEA. Claudio Knüsli va dans ce sens et indique qu' »il est reconnu que les appréciations de l’AIEA sont souvent sous-évaluées. » Source: www.tsr.ch