Impact des mines d’uranium : Areva dans le déni

En ouvrant Urêka, parc d’attraction à la gloire de l’uranium, Areva cherche-t-elle à éviter tout débat de fond sur le choix du nucléaire et ses conséquences pour les populations ? Partout où le groupe français développe ses activités minières, du Limousin au Grand Nord canadien en passant par le Niger et le désert de Gobi, on retrouve pourtant les mêmes questions et les mêmes inquiétudes sanitaires et environnementales. Pour les Amis de la Terre, en « réécrivant en vert l’histoire de l’uranium », Areva cherche surtout à se dédouaner à bon compte de ses responsabilités présentes et futures. Ce qui lui vaut une nomination au prix Pinocchio 2013. Observatoire des mltinationales.  PAR OLIVIER PETITJEAN

 http://www.multinationales.org/spip.php?article172 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.